Halloween est une fête traditionnelle d'origine celtique et païenne. Elle se déroule le soir du 31 octobre, la veille de la Toussaint, une fête catholique. Bien que son nom vienne de l'anglais et du christianisme, certaines sources pensent que Halloween a des racines dans une ancienne fête celtique appelée Samain, qui marquait le début de l'automne et avait une sorte de connotation de Nouvel An.
La date de la Toussaint a été fixée au 1er novembre par l'Église catholique au VIIIe siècle, mais il est contesté que cela ait été fait pour supplanter la fête de Samain. Les Celtes suivaient un calendrier lunaire, de sorte que Samain ne tombait pas toujours le 1er novembre. Les deux fêtes avaient des significations très différentes, ce qui rend difficile de les comparer. La tradition d'Halloween a été introduite aux États-Unis et au Canada par les émigrants irlandais et écossais, en particulier après la Grande Famine en Irlande (1845-1851).
La popularité d'Halloween a augmenté aux États-Unis à partir des années 1920, et c'est là que les lanternes Jack-o'-lantern, fabriquées à partir de citrouilles locales, ont remplacé les navets utilisés en Europe. Aujourd'hui, Halloween est principalement célébré en Irlande, au Royaume-Uni, aux États-Unis, au Canada, en Australie et en Nouvelle-Zélande, et dans de nombreux autres pays de manière plus limitée. La tradition la plus répandue veut que les enfants se déguisent en créatures effrayantes telles que des fantômes, des sorcières, des monstres ou des vampires, et aillent de porte en porte en demandant des friandises avec la phrase "Trick or treat!" (des bonbons ou un sort !). La soirée peut également être marquée par des feux de joie, des feux d'artifice, des jeux pour les enfants, la lecture d'histoires d'horreur ou de poèmes d'Halloween, la diffusion de films d'horreur, ainsi que des célébrations religieuses anticipées pour la Toussaint. Il n'est donc pas impossible que des enfants, accompagnées ou pas, viennent sonner à votre porte pour demander des bonbons et autres friandises en échange de leurs bénédictions et vous évitez le mauvais sort. Mais que vient faire le Photo-Club dans cette histoire, me demanderiez vous ?
C'est très simple. Bien que nous ne viendrons pas sonner à votre porte, et nous ne doutons pas que vous nous donneriez volontiers quelques bonbons, ce n'est pas des friandises que nous attendons de vous pour éviter le mauvais sort. C'est une photo. Une pou plusieurs photos. C'est l'occasion ou jamais de faire vivre le Photo-Club de votre participation.
Quel soit raté ou réussie, envoyez la nous. Elle représentera une magie qui détruira tous les mauvais sorts qui feraient du mal au Photo-Club.
©Alain Forthomme
Président du Photo-Club de la STIB
(C2796 / PH3)
